Festival Avignon 2012
Publié le 10 Août 2012
« Petite » édition pour ma part.
Petite parce que
- moins à fond cette année because le baby dans le ventre de Céline (on ne peut pas vraiment courir dans tous les sens dans Avignon)
- choix plus difficile de spectacle par rapport au programme… moins de feeling
- envie de profiter un peu plus tranquille à la maison chez Papa et Christine
- spectacles vus moins emballant dans l’ensemble que les autres années
- et pas de véritables coup de cœur (ça manque, et c’est tellement bon de vivre un spectacle où tu ressors les yeux encore pleins)
Allez rapide coup d’œil sur les spectacles vus :
- Sympathy
Manque quelques choses, manque du peps dans le texte, à ciseler, un peu plus d’humour, de rythme.
Comédiens biens, frais et justes
- Incurable
Déçu. M’attendais à mieux. Difficulté de suivre vraiment les personnages et le texte.
L’idée d’une bande son qui parle au trentenaires (et +) pas assez bien exploité à mon goût (et comme je m’y attendais par rapport au titre du spectacle).
Du coup, il manque quelque chose.
- Afrika
Ca aurait pu être le coup de cœur, mais il m’a manqué une petite étincelle.
Spectacle frais, gai, inventif, rythmé, attachant !
Mention +++ pour l’inventivité du final !
- La boîte de Pandore
Spectacle d'mpro. Bien mais un peu déçu. Manque un peu de rythme. Pas enthousiasmé.
- Max, la véritable histoire de mon père
Sans être fan absolu de Sophie Forte, on était allé voir « Sur le fil » il y a 2 ans et son spectacle pour enfant avec Jo l’an dernier. Et à chaque fois complétement convaincu.
Ce coup-là n’a pas dérogé à la rêgle : captivant, juste (dans le texte, la mise en scène et le jeu) et émouvant.
Vraiment un vrai régal.
Ps ki n’a rien à voir avec la pièce mais quand même un peu: La réservation (Théatre XXX) se fait obligatoirement en payant sa place par CB au téléphone. La prochaine fois, ils iront se gratter !
Céline verra aussi avec Jo, Magicien malgé lui (spectacle de magie vraiment bien).
Et Jo verra avec mes parents Rutabaga, Fourmi de pain et La Chèvre de M. Seguin.